La réputation numérique des centres de contrôle automobile s’exerce exclusivement sur Internet. Passer l’IRM de son véhicule est selon la loi obligatoire tous les deux ans une fois que la voiture a plus de 4 ans d’âge. L’entretien régulier de la voiture est fondamental pour pouvoir réussir cet examen obligatoire pour les véhicules légers et poids lourds.
La réforme de mai 2018 sur le contrôle technique n’est d’ailleurs pas passée inaperçue. Celle-ci a vu les points de contrôle renforcés en passant de 123 à plus de 400. L’ajout de trois niveaux d’appréciation pour valider la visite technique est laissé à la charge du technicien en fonction du degré de sécurité pour les points non obligatoires. Cette incidence a vu le prix de la prestation subir une inflation de 20%. Cette situation insupportable pour beaucoup d’automobilistes est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
A l’heure actuelle, la e-réputation des centres de contrôle technique est sujettes aux aléas de l’économie et du pouvoir d’achat. Focus sur les contrastes et les situations permettant de faire progresser ou chuter la notoriété web d’un centre de contrôle technique.
Réputation numérique des centres de contrôles techniques : quand posséder une voiture devient un luxe ?
Le premier facteur d’agacement et de déferlement d’avis négatifs sur les centres de contrôle technique concernent le passage en contre-visite. Pour les centres les plus rigoureux, les règles de sécurité et environnementales sont respectées à la lettre. Dans la pratique, seuls les véhicules très bien entretenus sont susceptibles de réussir l’épreuve.
Mais quand est-il des budgets limités roulant avec des voitures de plus de 10 ans ?
La contre-visite : l’argument phare des mauvais avis sur Internet
La crise sociale actuelle qui voit le prix à la pompe s’envoler et les réparations chez le garagiste extrêmement onéreuses ne peut garantir le succès de beaucoup d’automobilistes au contrôle technique. Les passages en contre-visite s’accumulent et créent la frustration. Car derrière les règles de sécurité, le contrôle technique implique forcément des frais très élevés.
Effectivement, mécanique et coût de la main d’œuvre impliquent souvent des factures pouvant dépasser un SMIC. Lorsque l’automobiliste est noyé et ne parvient pas à trouver de solution à son problème, il a tendance à se défouler sur les fiches Google My Business.
Le risque encouru de rouler est de surcroît plus grand. La coercition exercée par la puissance publique en cas de défaut de contrôle technique est immense. Elle peut se traduire par des amendes très coûteuses ou la saisie du véhicule en cas de contrôle routier.
Comment sensibiliser l’automobiliste tout en confortant sa réputation web ?
Aujourd’hui, en ville ou en campagne, il est quasiment impossible de se passer de son véhicule. La pression financière exercée par les lois et règlements est vécue comme une injustice pour les ménages les plus modestes. D’ailleurs, ce sont ces personnes qui mettent des mois à s’en remettre lorsque les réparations s’accumulent. Une astuce simple et honnête consiste à faire de la prévention auprès de la clientèle présente lors des visites techniques.
Notre expertise en référencement naturel auprès des centres de contrôle technique a permis de débloquer certaines situations et faire accepter la vérité. Chers contrôleurs techniques, soyez clairs et véridiques envers vos clients. Ne les assommer lorsque vous voyez des défaillances au premier regard même avant avoir monter la voiture sur le pont. Proposez leur tout simplement un rendez-vous ultérieur en leur recommandant par exemple de changer un amortisseur.
Dans l’esprit contraire, soyez intransigeant en matière de sécurité et refuser toute corruption passive. Une voiture techniquement dangereuse ne doit pas valider son contrôle technique et ne peut -être soudoyée moyennant rémunération. La sécurité du conducteur et des autres automobilistes est aussi en jeu.
Votre centre de contrôle est victime de votre rigueur et honnêteté, faites appel à un cabinet d’experts spécialisé dans la e-réputation pour remonter la note.
Un domaine d’activité dominé par la volonté de renouveler le parc automobile français
Le renfort des règles de sécurité du contrôle technique poursuit plusieurs objectifs :
• Le respect de la sécurité routière en vue de limiter le nombre d’accidents
• La purge des véhicules les plus vieux et polluants pour relancer l’achat d’automobile au niveau national.
Néanmoins, dans ce dernier argument, la relance économique ne suit pas. Tous les Français ne peuvent se permettre l’achat de nouveaux véhicules. Conscient de cet enjeu, les contrôleurs techniques doivent donc user de fermeté mais aussi préserver leur réputation web pour continuer à bien fonctionner. Car avec la crise, la conduite sans permis, assurance et à défaut de contrôle technique s’est propagée comme une traînée de poudre. Tellement que le Gouvernement prévoit le déploiement de nouveaux radars pouvant identifier toutes ces manquements.
Au cœur de cette situation délicate, les centres de contrôle technique sont les prestataires sur lesquels on peut facilement manifester son mécontentement.
Le contentieux juridique : comment faire chuter drastiquement sa notoriété web en un claquement de doigt ?
L’activité des contrôles techniques n’est pas seulement dominée par les visites périodiques. L’activité connaît ses heures fleurissantes dans le cadre des achats-ventes de véhicule d’occasion. En effet, tout acquéreur doit posséder un certificat de contrôle technique conforme de moins de 6 mois pour faire sa demande de carte grise.
L’abondance des visites techniques pour ces cas de figure est le théâtre depuis des années des ententes entre techniciens et mécaniciens ou tout simplement entre amis de longue date. Même si les machines parlent d’elles-mêmes, il est très facile de minimiser certains défauts. Généralement, ces petites manipulations passent comme une lettre à la poste.
En revanche, lorsque des garanties sur les ventes ou des vices cachées apparaissent, c’est la douche froide. Bon nombre d’expertises ont permis de mettre en lumière des procès-verbaux de contrôle technique maquillés. Cette situation déplorable est malheureusement très répandue dans le milieu. Un avis dénoncé sur un tel cas de figure est susceptible de faire passer la réputation web d’un centre de contrôle technique aux oubliettes.
S’ensuivent procédure contradictoire et jugement à la clé.
Les autres arguments détériorant la réputation digitale d’un centre de contrôle technique
La recherche du profit et de l’erreur de manière intéressée sont deux points soulevés constamment par les internautes. Voici une petite liste de situations où les internautes ne tergiversent plus.
Chercher la petite bête pour gonfler les marges
Lorsque le carnet d’entretien d’un véhicule est à jour et l’on se permet de facturer une contre visite pour une petite ampoule grillée, c’est désolant. L’affaire ne prend que cinq minutes à se régler. Cependant, ces cas existent et fâchent de plus en plus les consommateurs. Les associations comme UFC que Choisir dénoncent aussi cet acharnement économique auprès des clients. Beaucoup de cas similaires rapportés comme des systèmes de freinage défaillant qui en fait s’avère être aux normes ont été rapporté dans bon nombre de commentaires.
L’attente infernale devant les centres de contrôle technique
L’activité des centres de contrôle technique ne désemplit pas. Pourtant, il reste très difficile d’embaucher des agents techniques. En effet, la formation dure un certain temps et est soumis à un agrément préfectoral. De plus, les entrepôts ne peuvent accueillir plus de deux véhicules en même temps en règle générale. Cette situation cumulée aux personnes arrivant sans rendez-vous ne fait que renforcer le mécontentement. Finalement, une visite technique non programmée peut vite vous faire perdre une journée entière. Dans un monde où le temps est de l’argent, cette situation indépendante de la volonté des centres de contrôle technique suscite encore une fois un nombre conséquent d’avis négatifs sur la Toile.
Le contrôle technique low cost CT Easy : véridique ou arnaque déguisée ?
Le fameux contrôle technique à un euro dont tout le monde a entendu parler est bien une farce. En pratique, il est facturé au minimum 39 euros si tout se passe bien. Cette somme est tout de même low cost. Mais très peu d’internautes ont pu réellement en bénéficier. Dans les faits, il nécessite la présentation de toutes les factures de réparation et entretien effectués par un garage agréé. Les rendez-vous se réservent des mois à l’avance et seules quelques enseignes partenaires sont membres de l’opération.
Rares sont ceux qui ont pu tirer un avantage.de ce contrôle technique à mini prix. CT Easy se fait même fusiller sur le Net de tornades d’avis négatifs. Les mêmes allégations reviennent toujours en boucle. A savoir des contre-visites pour un montant parfois supérieur à 120 euros.
Méfiez-vous donc du contrôle technique low-cost et prenez soin de bien lire les conditions avant de vous engager.
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